dimanche 25 novembre 2007

POEMES DU CORPS DE LA TERRE. 5.




Un carré de ciel suspendu
sous lequel se courbent les tours penchées
sur le blanc de l'oeil lucarne allongé en corps sur le banc
Les nuages passent
Etirant le regard jusqu'aux étoiles
Jusqu'où jaillit la poésie d'un silence infini
Jusqu'où l'invisible devant rejoint dans sa sphère l'invisible derrière





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