Dans le temple divin
De mon oeil ouvert
A ton silence premier
Je ne perçois pas ce soir la chaleur
Et la flamme princière
Le coeur fissible
Et ce cri en pure perte
Je n'attends même plus l'inexorable
Le glaive planté
N'a plus qu'à s'enfoncer
Dans l'hébétude
De ma dissolution
Où est le trait d'éternité
Qui se clame moi et Toi ?
De mon oeil ouvert
A ton silence premier
Je ne perçois pas ce soir la chaleur
Et la flamme princière
Le coeur fissible
Et ce cri en pure perte
Je n'attends même plus l'inexorable
Le glaive planté
N'a plus qu'à s'enfoncer
Dans l'hébétude
De ma dissolution
Où est le trait d'éternité
Qui se clame moi et Toi ?
J'ai bu à la fontaine du coeur
Androgyne
Et une musique s'étire sur les
Ombres passées
Je ne te laisserai plus partir
Me souffle la douceur
La tendre blessure
Panse les plaies
De tout mon corps transporté
Sous la furie des coups
L'ignorance aura toujours frappé l'innocence
Mais seule l'innocence pouvait tirer
Le glaive et opérer la tumeur haineuse
Je n'ai pas chanté mon coeur
A satiété
Je n'ai pas dit la merveille discrète
Qui m'embrase en silence
Je n'ai pas dit l'amour indicible
Et tranquille qui ne renonce jamais
A l'espace sensible
Il est entré dans mon âme
Et mon âme est une femme
Qui s'était perdue dans les violences enfantines
Enfin
Ciel et
Terre
Toi
Moi plus que moi
Androgyne
Et une musique s'étire sur les
Ombres passées
Je ne te laisserai plus partir
Me souffle la douceur
La tendre blessure
Panse les plaies
De tout mon corps transporté
Sous la furie des coups
L'ignorance aura toujours frappé l'innocence
Mais seule l'innocence pouvait tirer
Le glaive et opérer la tumeur haineuse
Je n'ai pas chanté mon coeur
A satiété
Je n'ai pas dit la merveille discrète
Qui m'embrase en silence
Je n'ai pas dit l'amour indicible
Et tranquille qui ne renonce jamais
A l'espace sensible
Il est entré dans mon âme
Et mon âme est une femme
Qui s'était perdue dans les violences enfantines
Enfin
Ciel et
Terre
Toi
Moi plus que moi
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