OK OK
La grâce est décidément la seule qui sait faire
La pauvreté conduit à la beauté
Quand le besoin d'être n'a plus de limite
Le génie érotique alors s'agite
Et sa plénitude insatisfaite conduit
Sur la terre des manières d'amour inédites
Tu te balades dans la conscience nue
Le coeur en flamme
Les traits printaniers de l'immense fécondité
S'étendent de tout côté
Ton corps avance dans l'immobilité
Les nuances des jaunes floraux bruissent des pans de verts
La sensualité célèbre le retour tranquille à la splendeur de l'espace
La vie en liesse chante en bas
Une jeune fille a élevé de là ton âme dans la conscience nue
Tu ignorais à ce point l'élévation de l'amour
La grâce de la Vierge Mère a assigné à ton désir la beauté pure
Tu es cela fils de Dieu
Tu es tout OUVERT
Et le sacré coeur igné où tu demeures
Regarde le regard
Jusqu'à s'enivrer
Enfile enfile ces perles sonores sur le fil silencieux du jour
Et remets en le collier à la Reine
Qui te l'inspire
L'inaperçu de la pensée s'est laissé voir en un vol de ridules colorées
Avant qu'elles ne se sussurent des mots involontaires
La grâce y écrase les anges déchus parasites
Leurs traces grisâtres s'évanouissent
Lumières
Sur le palier de la transparence entre les oreilles
Deux lignes de pétillements frémissent d'une légère brise marine
Ramenant sans arrêt à l'océan tranquille de la conscience nue
Tu es le tout OUVERT
T'insuffle la Déesse
Ton âme
Même
D'amour foudroyée
restera apaisée
Maintenant
Laisse toi faire !
La grâce est décidément la seule qui sait faire
La pauvreté conduit à la beauté
Quand le besoin d'être n'a plus de limite
Le génie érotique alors s'agite
Et sa plénitude insatisfaite conduit
Sur la terre des manières d'amour inédites
Tu te balades dans la conscience nue
Le coeur en flamme
Les traits printaniers de l'immense fécondité
S'étendent de tout côté
Ton corps avance dans l'immobilité
Les nuances des jaunes floraux bruissent des pans de verts
La sensualité célèbre le retour tranquille à la splendeur de l'espace
La vie en liesse chante en bas
Une jeune fille a élevé de là ton âme dans la conscience nue
Tu ignorais à ce point l'élévation de l'amour
La grâce de la Vierge Mère a assigné à ton désir la beauté pure
Tu es cela fils de Dieu
Tu es tout OUVERT
Et le sacré coeur igné où tu demeures
Regarde le regard
Jusqu'à s'enivrer
Enfile enfile ces perles sonores sur le fil silencieux du jour
Et remets en le collier à la Reine
Qui te l'inspire
L'inaperçu de la pensée s'est laissé voir en un vol de ridules colorées
Avant qu'elles ne se sussurent des mots involontaires
La grâce y écrase les anges déchus parasites
Leurs traces grisâtres s'évanouissent
Lumières
Sur le palier de la transparence entre les oreilles
Deux lignes de pétillements frémissent d'une légère brise marine
Ramenant sans arrêt à l'océan tranquille de la conscience nue
Tu es le tout OUVERT
T'insuffle la Déesse
Ton âme
Même
D'amour foudroyée
restera apaisée
Maintenant
Laisse toi faire !
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